Anaïs Queiroz : DUT TC – 2019/2021



Anaïs Queiroz, le choix du relationnel
Après une première année en fac de droit, Anaïs a finalement fait le choix du commerce, et a continué sur cette voie jusqu’au Master. Passionnée par l’humain, la jeune femme est aujourd’hui consultante en recrutement à Lyon. Également autrice, son premier roman “Memento Mori”, co-écrit avec son amie Fanny Pisseloup, est paru en février 2024 aux éditions Maia.
Pouvez-vous nous présenter votre parcours professionnel ?
Après le bac, je voulais devenir avocate. J’ai fait un an à la fac de droit de Grenoble, mais je me suis vite rendu compte que ça ne me correspondait pas. Je suis retournée voir la conseillère d’orientation pour faire un bilan de compétences et il s’est avéré que le domaine commercial me correspondait bien.
Je me suis renseignée sur ce qui existait autour de moi – ma famille habite au Creusot – et j’ai fait les portes ouvertes de l’IUT. Les intervenants rencontrés à cette occasion et la taille humaine de la formation m’ont convaincu. Le fait que la formation soit assez générale me plaisait aussi, comme je n’étais pas sûre de ce que je ferai après.
Ça m’a fait du bien de revenir aux sources, de pouvoir suivre ma formation en restant chez mes parents…surtout qu’une partie de mon DUT est tombé en plein sur la période COVID ! Ce n’était pas simple, mais le département a bien géré la situation : en une semaine, tout était adapté pour une formation en visio. Pour la seconde année, Mme Morin a même mis en place des visios “rencontres” pendant l’été, qui ont permis à notre classe d’alternants de tisser des liens avant la rentrée.
Encore aujourd’hui, je garde un souvenir marquant de certains cours de l’IUT : par exemple, les cours de négociation de Mme Gauthard ! C’étaient des cours vraiment concrets qui me servent encore aujourd’hui, avec des techniques que j’utilise toujours au travail. J’ai aussi beaucoup apprécié mon année d’alternance. Nous étions un petit groupe très soudé d’une vingtaine d’étudiants, et comme tout le monde était à l’aise, on pouvait se permettre d’aller plus loin dans les cours de marketing, d’économie… Le passage à l’alternance s’est fait en douceur, grâce à l’accompagnement de nos enseignants.
Je faisais mon alternance au Garage Lecat et Fils, au Creusot. Celle-ci s’est très bien passée, avec une vraie progression au niveau des missions. Au début, je faisais beaucoup de “mise en main” : j’expliquais au client toutes les fonctionnalités de leur nouveau véhicule. Puis, on m’a progressivement confié des tâches de gestion de la relation client, jusqu’à je devienne assistante commerciale polyvalente, suite à une opportunité.
J’ai continué mon alternance même après l’IUT, car j’ai intégré une licence professionnelle : la LP Management des activités commerciales à Mâcon. À la fin de ces deux années d’alternance, je gérais une bonne partie des dossiers, ainsi que la relation avec les fournisseurs (parfois en anglais !).
J’ai décidé de poursuivre jusqu’au Master, en rejoignant l’INSEEC (école de commerce) à Lyon. Je me suis alors spécialisée en Management de projet et ingénierie commerciale. Là encore, j’ai choisi la voie de l’alternance, en intégrant Secafi au poste de technico-commerciale nationale. Secafi, c’est un cabinet qui accompagne les représentants du personnel sur les aspects financiers, juridiques et sociaux.
Travailler chez eux m’a permis de beaucoup voyager dans toute la France : j’allais représenter le cabinet dans des salons commerciaux, des congrès… Je gérais aussi toute une partie développement commercial, avec beaucoup de prospection téléphonique à froid pour apporter des affaires aux consultants-experts. Ce n’était pas facile, il fallait un mental solide. Mais c’était aussi très formateur : aujourd’hui je n’ai plus aucun blocage dans la relation client et je suis très à l’aise à l’oral.
Ce poste m’a aussi permis de développer un nouvel aspect de mon profil, le côté ressources humaines. J’en avais déjà un peu fait avant – au Garage Lecat, par exemple, pour recruter et former les alternants qui allaient me succéder par le biais d’un Job dating organisé avec l’IUT – et Secafi m’a permis de confirmer mon intérêt pour le domaine social, qui me changeait un peu du commerce et de la vente.
Et maintenant, où en êtes-vous ?
En septembre 2024, j’ai intégré l’agence d’intérim et recrutements AproJob en CDI, en tant que consultante en recrutement. C’est une agence spécialisée dans les emplois temporaires de l’industrie (maintenance, métallurgie, électricité…). Je travaille la moitié du temps sur du recrutement, et l’autre moitié sur le développement de notre portefeuille client. C’est donc un poste mi-commercial mi-ressources humaines.
J’ai été approché directement par la responsable des ressources humaines d’AproJob via Indeed, alors que j’étais encore à l’INSEEC. Je n’avais pas pensé à partir dans cette direction à la base, mais au fil des entretiens, je me suis rendu compte que ce poste me conviendrait vraiment bien. J’avais envie que la relation humaine soit au cœur de mon activité professionnelle, que mon activité quotidienne consiste à accompagner, aider, trouver des réponses aux besoins…
Vous avez publié un livre, est–ce que vous pouvez nous en parler un peu ?
Oui, bien sûr ! C’est un roman intitulé “Memento Mori”, co-écrit avec une amie du lycée, Fanny, et publié en février 2024. On a toutes les deux fait un BAC L au lycée Léon Blum, mais ensuite je suis partie à Grenoble et elle à Dijon. Ce projet d’écriture nous a permis de rester en contact durant nos années d’études.
Quelques années après qu’on l’a eu terminé, Fanny a essayé de l’envoyer à quelques maisons d’édition, et a eu de bons retours. Après quelques mois de relecture et d’échanges sur la couverture, nous l’avons publié avec les éditions Maïa.
“Memento Mori”, c’est l’histoire de Gabrielle, une adolescente qui vit sa transition vers la vie d’adulte. C’est vraiment une héroïne qui vit à fond, qui essaie de profiter de chaque moment pour ne pas avoir de regrets. Le scénario est plein de rebondissements, et la fin surprend généralement ! Pour le moment, on a eu que des bons retours, y compris de personnes qui n’aiment pas trop lire habituellement.
La conclusion du livre est assez ouverte, donc on écrira peut-être une suite un jour. Pour le moment, on se concentre sur nos projets professionnels respectifs et sur la promotion du premier livre. Pour ceux que ça intéresse, il est vendu sur toutes les librairies en ligne, et sur le site de l’éditeur.
À qui recommanderiez-vous le BUT TC ? Et que conseillez-vous aux étudiants actuellement à l’IUT ?
J’ai testé à la fois la licence à la faculté et le DUT, et, à titre personnel, je conseille vraiment le DUT (BUT actuel). À la fac, on est un peu laissé à soi-même, il faut être très organisé et savoir clairement ce que l’on veut pour réussir. Le DUT/BUT offre plus de structure, d’accompagnement et permet de construire des habitudes de travail qui restent.
Le BUT TC peut convenir aux lycéens que le commerce et la communication intéressent, bien sûr, mais aussi à ceux qui aiment le social et les relations humaines, qu’on retrouve beaucoup dans le commerce. C’est une formation très large et très complète, impressionnante par le nombre de connaissances balayées. Tout ce que vous ferez après ne sera que de l’approfondissement.
Si vous êtes déjà étudiant à l’IUT : vivez votre BUT à fond ! Toutes les connaissances que vous êtes en train d’acquérir vous serviront forcément par la suite. Écoutez bien les conseils de vos intervenants et de vos enseignants sur la vie professionnelle, car ce sont des conseils pertinents. Et bien sûr, n’oubliez pas de profiter de votre vie étudiante : c’est vrai que le BUT demande beaucoup de travail personnel, mais il ne faut pas laisser filer ces années-là.



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Anaïs Queiroz, le choix du relationnel
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Pouvez-vous nous présenter votre parcours professionnel ?
Après le bac, je voulais devenir avocate. J’ai fait un an à la fac de droit de Grenoble, mais je me suis vite rendu compte que ça ne me correspondait pas. Je suis retournée voir la conseillère d’orientation pour faire un bilan de compétences et il s’est avéré que le domaine commercial me correspondait bien.
Je me suis renseignée sur ce qui existait autour de moi – ma famille habite au Creusot – et j’ai fait les portes ouvertes de l’IUT. Les intervenants rencontrés à cette occasion et la taille humaine de la formation m’ont convaincu. Le fait que la formation soit assez générale me plaisait aussi, comme je n’étais pas sûre de ce que je ferai après.
Ça m’a fait du bien de revenir aux sources, de pouvoir suivre ma formation en restant chez mes parents...surtout qu’une partie de mon DUT est tombé en plein sur la période COVID ! Ce n’était pas simple, mais le département a bien géré la situation : en une semaine, tout était adapté pour une formation en visio. Pour la seconde année, Mme Morin a même mis en place des visios “rencontres” pendant l’été, qui ont permis à notre classe d’alternants de tisser des liens avant la rentrée.
Encore aujourd’hui, je garde un souvenir marquant de certains cours de l’IUT : par exemple, les cours de négociation de Mme Gauthard ! C'étaient des cours vraiment concrets qui me servent encore aujourd’hui, avec des techniques que j’utilise toujours au travail. J’ai aussi beaucoup apprécié mon année d’alternance. Nous étions un petit groupe très soudé d’une vingtaine d’étudiants, et comme tout le monde était à l’aise, on pouvait se permettre d’aller plus loin dans les cours de marketing, d’économie… Le passage à l’alternance s’est fait en douceur, grâce à l’accompagnement de nos enseignants.
Je faisais mon alternance au Garage Lecat et Fils, au Creusot. Celle-ci s’est très bien passée, avec une vraie progression au niveau des missions. Au début, je faisais beaucoup de “mise en main” : j’expliquais au client toutes les fonctionnalités de leur nouveau véhicule. Puis, on m’a progressivement confié des tâches de gestion de la relation client, jusqu’à je devienne assistante commerciale polyvalente, suite à une opportunité.
J’ai continué mon alternance même après l’IUT, car j’ai intégré une licence professionnelle : la LP Management des activités commerciales à Mâcon. À la fin de ces deux années d’alternance, je gérais une bonne partie des dossiers, ainsi que la relation avec les fournisseurs (parfois en anglais !).
J’ai décidé de poursuivre jusqu’au Master, en rejoignant l’INSEEC (école de commerce) à Lyon. Je me suis alors spécialisée en Management de projet et ingénierie commerciale. Là encore, j’ai choisi la voie de l’alternance, en intégrant Secafi au poste de technico-commerciale nationale. Secafi, c’est un cabinet qui accompagne les représentants du personnel sur les aspects financiers, juridiques et sociaux.
Travailler chez eux m’a permis de beaucoup voyager dans toute la France : j’allais représenter le cabinet dans des salons commerciaux, des congrès… Je gérais aussi toute une partie développement commercial, avec beaucoup de prospection téléphonique à froid pour apporter des affaires aux consultants-experts. Ce n’était pas facile, il fallait un mental solide. Mais c’était aussi très formateur : aujourd’hui je n’ai plus aucun blocage dans la relation client et je suis très à l’aise à l’oral.
Ce poste m’a aussi permis de développer un nouvel aspect de mon profil, le côté ressources humaines. J'en avais déjà un peu fait avant – au Garage Lecat, par exemple, pour recruter et former les alternants qui allaient me succéder par le biais d’un Job dating organisé avec l’IUT – et Secafi m’a permis de confirmer mon intérêt pour le domaine social, qui me changeait un peu du commerce et de la vente.
Et maintenant, où en êtes-vous ?
En septembre 2024, j’ai intégré l’agence d’intérim et recrutements AproJob en CDI, en tant que consultante en recrutement. C’est une agence spécialisée dans les emplois temporaires de l’industrie (maintenance, métallurgie, électricité…). Je travaille la moitié du temps sur du recrutement, et l’autre moitié sur le développement de notre portefeuille client. C’est donc un poste mi-commercial mi-ressources humaines.
J’ai été approché directement par la responsable des ressources humaines d’AproJob via Indeed, alors que j’étais encore à l’INSEEC. Je n’avais pas pensé à partir dans cette direction à la base, mais au fil des entretiens, je me suis rendu compte que ce poste me conviendrait vraiment bien. J’avais envie que la relation humaine soit au cœur de mon activité professionnelle, que mon activité quotidienne consiste à accompagner, aider, trouver des réponses aux besoins...
Vous avez publié un livre, est-ce que vous pouvez nous en parler un peu ?
Oui, bien sûr ! C’est un roman intitulé “Memento Mori”, co-écrit avec une amie du lycée, Fanny, et publié en février 2024. On a toutes les deux fait un BAC L au lycée Léon Blum, mais ensuite je suis partie à Grenoble et elle à Dijon. Ce projet d’écriture nous a permis de rester en contact durant nos années d’études.
Quelques années après qu’on l’a eu terminé, Fanny a essayé de l’envoyer à quelques maisons d’édition, et a eu de bons retours. Après quelques mois de relecture et d’échanges sur la couverture, nous l’avons publié avec les éditions Maïa.
“Memento Mori”, c’est l’histoire de Gabrielle, une adolescente qui vit sa transition vers la vie d’adulte. C’est vraiment une héroïne qui vit à fond, qui essaie de profiter de chaque moment pour ne pas avoir de regrets. Le scénario est plein de rebondissements, et la fin surprend généralement ! Pour le moment, on a eu que des bons retours, y compris de personnes qui n’aiment pas trop lire habituellement.
La conclusion du livre est assez ouverte, donc on écrira peut-être une suite un jour. Pour le moment, on se concentre sur nos projets professionnels respectifs et sur la promotion du premier livre. Pour ceux que ça intéresse, il est vendu sur toutes les librairies en ligne, et sur le site de l’éditeur.
À qui recommanderiez-vous le BUT TC ? Et que conseillez-vous aux étudiants actuellement à l’IUT ?
J’ai testé à la fois la licence à la faculté et le DUT, et, à titre personnel, je conseille vraiment le DUT (BUT actuel). À la fac, on est un peu laissé à soi-même, il faut être très organisé et savoir clairement ce que l’on veut pour réussir. Le DUT/BUT offre plus de structure, d’accompagnement et permet de construire des habitudes de travail qui restent.
Le BUT TC peut convenir aux lycéens que le commerce et la communication intéressent, bien sûr, mais aussi à ceux qui aiment le social et les relations humaines, qu’on retrouve beaucoup dans le commerce. C’est une formation très large et très complète, impressionnante par le nombre de connaissances balayées. Tout ce que vous ferez après ne sera que de l’approfondissement.
Si vous êtes déjà étudiant à l’IUT : vivez votre BUT à fond ! Toutes les connaissances que vous êtes en train d’acquérir vous serviront forcément par la suite. Écoutez bien les conseils de vos intervenants et de vos enseignants sur la vie professionnelle, car ce sont des conseils pertinents. Et bien sûr, n’oubliez pas de profiter de votre vie étudiante : c’est vrai que le BUT demande beaucoup de travail personnel, mais il ne faut pas laisser filer ces années-là.
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